Pourquoi nous avons créé ESSSI ?

Tout simplement parce que le monde de l’ESS vit aujourd'hui une révolution que l’industrie a connue il y a quelques années
 
  • Ressources financières plus rares (subventions, tarifs d’intervention)
  • Concurrence entre acteurs de l’ESS ou même avec des structures privées
  • Pression des pouvoirs publics pour que les structures se regroupent
  • Profusion d’informations à gérer, sous des formes diverses, et fractionnement du travail quotidien
 
Cette révolution oblige à s’adapter, pour une
 
  • Meilleure efficacité opérationnelle et économique
  • Meilleure qualité des prestations, professionnalisation accrue
  • Mise en commun de moyens
  • Fonctionnement en réseau, partage d’informations et décloisonnement
 
Beaucoup de ces évolutions passent par des solutions informatiques modernes. Encore faut-il bien les choisir, bien les mettre en place et bien gérer le changement qu’elles impliquent.
 
C'est l'ambition d'ESSSI que d'accompagner les acteurs de l'ESS sur ce chemin. C'est pourquoi nous avons créé ce cabinet en avril 2014.
 
Philippe Girard
Marc Tallec
 

Les besoins des associations et les outils disponibles

 

Convaincre

  • Convaincre les clients potentiels, les adhérents, les institutionnels, les pouvoirs publics, les partenaires
  • Augmenter la compréhension du grand public

 

Trouver des ressources

  • Solliciter les donateurs, mécènes, bailleurs publics, clients, financeurs

 

Offrir des services

  • Organiser des actions, articuler le travail des équipes de terrain

 

Gérer

  • Suivre les finances, la trésorerie, tracer les fonds et leur affectation, rendre compte

 

Animer les parties prenantes

  • Rassembler les membres, salariés, bénévoles, sympathisants, donateurs




  • Site web, blog, réseaux sociaux, cyberpetition




  • Don sur site sécurisé, micro funding, Twitter, CRM




  • Outils et progiciels métier, télégestion, télé- localisation, tablette et PDA-smartphone, SMS et chat


  • Logiciel financier, progiciel intégré, compta analytique, contrôle de gestion, reporting


  • Réseaux sociaux internes, forums, groupes, wikis

Compl-exit : sortir de la complexité


Etes-vous vieille informatique ou nouvelle informatique ?

Nous décryptons pour vous le passage de l'ancien au nouveau monde informatique, tel que schématisé dans le schéma ci-dessous. Impressionnant, non ?

L'ancien modèle

Autrefois (peut-être même encore aujourd'hui dans votre association), l'informatique était monolithique. Elle automatisait dans un esprit de normalisation et d'économies d'échelle. Les pratiques ainsi normées devenaient des "processus" décrits dans des manuels. Le Directeur Organisation et Informatique détectait les zones à traiter et "vendait" l'amélioration d'efficacité au Directeur Général. Les utilisateurs rédigeaient leurs pratiques habituelles dans un cahier des charges, qui était soumis à des fournisseurs ou à l'équipe informatique. Ceux-ci développaient dans un délai assez long (6 mois à 2 ans, selon la complexité).

 

Il fallait vivre ensuite 10 ans avec un système dépassé par l'évolution de la technologie et des attentes sociales. De plus, ce système était très rigide, coûteux à changer, avec en outre le danger de casser le fonctionnement de l'organisation.

 

On parlait de la tour d'ivoire des informaticiens, prisonniers de leur savoir et de leur jargon.

 

Mais c'était "avant".

Le nouveau modèle

Comme vous pouvez le constater, les informaticiens ont pris la clé des champs et se sont répandus dans la nature. On les appelle "agents du changement" ou "animateurs de réseaux", et ils aident à la transformation digitale des associations qui les emploient.

Les changements se font au niveau du terrain, à petite échelle. Pour assurer la cohérence et le fonctionnement de l'ensemble, il y a heureusement une cellule de gouvernance de l'architecture d'entreprise !

 

Quant à lui, le DSI a disparu au profit d'un ou de plusieurs Chief Information Officer, Chief Technical Officer, Chief Digital Officer, Chief Content Officer, Chief Experience Officer. C'est le retour des chefs à plumes !

 

Sommes-nous passés d'un excès à un autre ? L'avenir nous le dira. Pour notre part, nous misons sur le bon sens.